27 janvier 2022 4 27 /01 /janvier /2022 11:02

Ces derniers jours, j'avais repris ma place favorite de contemplateur en mode présentiel, en adoptant ce recoin de café, bien au chaud avec la sortie des cuisines, bien tranquille pour savourer un bon chocolat chaud en regardant les autres tables, les plus proches dedans comme les plus éloignés derrière la vitre qui me séparait de la terrasse.

Un petit ordinateur pour écrire, pour vous décrire, un livre pour les périodes plus calmes de passages, je laisserai mon regard vous suivre, vous voyant arriver comme revenant d'une grande bataille, conquérante dès huit heures du matin, à moins que ce ne fût juste un retard de réveil, ou un simple moyen d'essayer de faire oublier votre retard auprès de ceux qui vus attendait avec leurs cafés. Vous étiez là, avec votre présence, votre visage.

 

 

Photo : Irina Shayk pour Vogue

Photo : Irina Shayk pour Vogue

Elle était là, arrivée plutôt en louvoyant dans un long manteau beige impeccable, laissant juste apercevoir des hautes bottes droites en cuir couleur moutarde. Froide comme la température extérieure, elle s'était glissée sans gêner pour se mettre à mon opposé, dans un autre recoin permettant de superviser cette salle de café, son regard restait impassiblement vide d'émotions. Certains auraient dit énigmatique, je me contentais de reptilien à sang froid ayant perdu beaucoup d'espoir dans l'espèce humaine. Sans raison, juste par jeu personnel, je lui donnais ce personnage, son café n'était pas froid, ni même trop chaud, mais elle le dégustait en y posant à peine ses lèvres, ne souhaitant pas dévoiler sa langue fourchue. Son instinct retenait tous ses gestes, une économie qui commençait par son visage, toujours aussi figé dans une profondeur morbide. Elle attendait quelqu'un ou quelque chose, un déclic pour se jeter sur sa proie. 

Comment peut-on se donner un style pareil, vivre au quotidien avec cet horizon perdu dans le regard ? Un tel désespoir doit avoir dévorer ses entrailles pour ne plus pouvoir exprimer un début de sourire, même pour gentil jeune serveur venu lui déposer son café, revenant lui proposer un verre d'eau ou un croissant. Rien, absolument rien n'émanait d'elle. Venimeuse ascendant vénéneuse, serpent ou plante verte géante croisée avec une humaine à longues jambes slaves, son mystère restera entier. 

Un grosse berline noire s'est arrêtée devant le café, elle l'a vu aussitôt, elle est sortie en laissant un beau pourboire, et toujours sans émotion, sans aucune émotion, sans mouvement de muscles du visage, elle a disparu.

Photo : Jessica Chastain pour harper's bazaar

Photo : Jessica Chastain pour harper's bazaar

Heureusement ce matin là, il y avait d'autres personnes, une autre femme, un autre entrée avec plus de chaleur. Un long manteau toujours mais le froid d'hiver le justifie quand il ne nous laisse que quelques degrés positifs pour courir vers chez soi ou vers un bureau, un long manteau rouge souple sur une robe en laine courte avec une jolie paire de gambettes enveloppées dans un voile de nylon noir avec des motifs élégants, le tout posé dans des bottines de cuir noir. Un grand sac, une part importante de sa silhouette, de son allure quand elle est entré, fourvoyant dans l'immensité de l'accessoire pour sortir sur sa table, une boîte à maquillage, une brosse, un non deux téléphones, un cahier et des crayons de couleurs. Le serveur regardait, souriait de ce bazar ambulant, prenant note d'un thé avec des macarons, trouvant une chaise de plus pour le sac. Elle était enfin assise, volubile mais un peu perdue avec elle-même. Car derrière cet espace occupé, je ne voyais qu'une femme timide s'exorcisant de ne pas vivre assez librement du regard des autres. Elle venait d'en faire la preuve, car notre monde individualiste ne la jugeait pas, toutes et tous étaient sur leurs écrans. Elle serait rentrée nue sous son manteau, je ne suis pas sûr qu'il y aurait plus d'un regard, le mien. Il est beau le monde.

Là maintenant, installée, dispersée sur sa table, dans son univers, elle corrige ses paupières d'un cuivré délicat, elle se mire, sourit, cligne des yeux, l'un puis l'autre pour s'assurer de l'équilibre harmonieux du tout. Puis sagement elle brosses ses cheveux, d'une main elle les soulève, de l'autre elle crée la vague soyeuse. Ce geste infiniment féminin, elle le répète, je suis conquis, suis spectateur au milieu des écrans illuminés dictateurs du regard des autres. Elle se pomponne en vérifiant le tombant des cheveux, sur ses épaules, sur sa robe et sur son visage. Un souffle et ceux-ci recouvre la partie droite, donnant du mystère ou rappelant sa timidité inavouable, qui est-elle vraiment ? Elle sourit au miroir, d'un geste très précis, maîtrisé naturellement, elle marque ses lèvres d'un rose léger mais satiné. Elle boit maintenant son thé, écrit avec ses crayons de couleur dans son cahier, elle note, souligne, raye, gomme. Elle attend le soleil d'hiver, un peu trop discret aujourd'hui.

 

Nylonement

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17 septembre 2021 5 17 /09 /septembre /2021 16:29

Depuis des mois, il travaillait sans comprendre le sens réel des informations qu'il recevait, sans prendre le temps de voir le monde avancer. D'ailleurs durant des semaines, les gens avaient disparu de la ville, des rues et les journées avançaient sans nuances, sans bruit de vie. Tout ce petit monde était ailleurs. Emprisonné peut-être ?

Lui avait le droit de sortir, de marcher vers sa voiture, d'aller au travail, de monter seul les marches ou de prendre un ascenseur tout aussi vide. Là il aidait de son mieux les personnes qui étaient là, des êtres perdus dans un vide émotionnel proche du néant. Sans repères, lui donnait encore un peu d'espoir, et puis après les premiers jours, les premières semaines, il avait trouvé les mots pour donner un peu de sens à tout cela.

Aujourd'hui, des mois après les vagues successives, il appréhendait différemment les nouvelles, il voyait ce monde s'écrouler lentement sans apprécier la hauteur de la chute. Lui les accompagnait toujours, inlassablement, sans voir sa propre fatigue, sans se plaindre, sans envie non plus. Il était fidèle au poste. 

 

 

Les jours sombres approchent

Paradoxalement, sans vie sociale durant des mois, il avait moins lu qu'avant, ne prenant le temps que pour essayer de respirer, pour finalement mieux s'écrouler de fatigue. Doucement, délicatement, il somnolait devant la télé, sans aucun échange, en total consommateur anéanti, insatisfait du contenu. Il s'endormait là, doucement et parfois aussi violemment. Absorbé par le poids des journées trop longues, par cette impossibilité de simplement sortir pour croiser le sourire de la boulangère, pour croquer du pain frais. La nuit le matin en partant, la nuit de nouveau le soir en rentrant du boulot, existait-il vraiment un jour, un coin de ciel bleu ? 

Ce soir il rêvait, sans espoir, peut-être en reprenant ce roman posé là depuis des mois, quelques pages en arrière, une belle blonde dans son salon, elle attendait son amant. Les mots défilaient à nouveau, la mémoire jouaient avec ses neurones affolées. Le contexte reprenait forme, l'érotisme des chapitres précédents affluaient avec des images, des émotions et même des sensations. Le crissement de la jupe dévoilant les bas noirs, les yeux apercevant les coutures prolongeant les talons hauts, le chemisier de soie, tous ses sens retrouvaient le bonheur d'un fétichiste heureux. Le lecteur devenait le personnage, du moins il créait la confusion intellectuelle. Elle était là devant lui, en pleine lecture. 

Qui était-elle ?

Son amour, cette femme pulpeuse, il l'avait idéalisée avec ses propres critères, abandonnant la blondeur pour une brune plus sensuelle, plus proche de ses souvenirs personnels. Loin du conte empli de perfection donné par l'auteur, il appréciait plus une femme vraie, imparfaite comme nous tous, du moins hors des standards et autres stéréotypes, il la voulait plus accessible. Femme de papier pourtant, mais ce soir il s'endormait avec cette image. Proche de lui, si loin encore.

 

Nylonement

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19 mars 2021 5 19 /03 /mars /2021 19:32

J'avais laissé derrière moi mon bureau, un dernier regard sur ce lieu que je ne visitais plus qu'une fois par semaine. Nouvelles directives, nouveaux défis, j'avais reposé mes trop rares affaires personnelles dans un tiroir, deux tours de clefs, le bloc attendrait encore plusieurs semaines un possible retour. Seule ou presque sur ce large open-space, une vaste étendue sans bruit, les salles de réunion dans le noir, je regardais avec une presque nostalgie cette espace vide de vie. Mon sac à main, mon petit sac à dos en cuir design pour mon ordinateur, quelques papiers, j'éteignais ce lieu, une case noire sur la façade de l'immeuble, une de plus, plus aucune lumière. Sagement j'attendais  l'ascenseur avec sur le mur juste ce rond surligné de bleu, le bouton d'appel. Tristes instants, en souvenir des fins de semaine habituels, d'avant, où l'on improvisait un "happy hours", un moment apéritif festif pour soulager nos dos, nos yeux et nos cerveaux de la pression des projets en cours, nous nous libérions totalement. Un exutoire souriant souvent pour grignoter des tapas commandés par le responsable présent, quelques bières, plus rarement du champagne, un moment de convivialité mêlant des rires, des petits phrases entendues durant la semaine, parfois aussi un peu de off sur les clients, sur les relations ou les enjeux en cours. Cette salve de folie passagère qui nous emportait parfois un peu tard dans la nuit, seule lumière de la façade. Nous réservions des VTC pour répartir les retours en banlieue, l'esprit libéré pour le week-end. Que tout cela me semblait loin aujourd'hui, dans ce silence omniprésent. Pas un bruit au-dessus de ma tête, pas même du personnel de ménage s'immisçant dans les bureaux. Personne.

Juste les chiffres des étages s'affichant toutes les deux secondes. Lumière bleue.

 

 

 

Shades of Grey

Shades of Grey

J'avais pris le temps de resserrer la ceinture de mon manteau, pour éviter cet effet chaud-froid brutal entre les couloirs aseptisés et climatisés comme un éternel été, et l'extérieur où le froid des dernières heures d'hiver se rappelaient encore à nous. Cliquetis de mes talons sur le trottoir, quelques rares personnes, comme une ville morte peuplée de zombies cherchant la bouche de métro. Rien de plus. Un véhicule noire s'arrête devant moi, mon taxi, je me glisse dedans. Chaleur du cuir, compensation de cette journée seule dans cette immense salle vide, je repensais à un dossier, à une note à rajouter, à la forme du document pour être compris de tous, à la fois synthétique et complet. Mes jambes respiraient enfin, allongée là dans cet habitacle doux, le chauffeur, toujours le même, savait être discret, la musique lounge en fond sonore, rien de plus, juste les lumières de la ville. Non pas endormie mais endolorie dans ce tourbillon d'inconfort, ouverte mais pas trop, incomplète avec ses vitrines oubliées, sans fonction, sans passants, sans clients, sans portes ouvertes. Des silhouettes, d'autres zombies perdus rasant les murs, ne voulant pas être là, masqués, en quête d'une porte d'immeuble, je les suivais du regard, personnages anonymes et silencieux d'un film moderne.

Ma main glissait vers mes jambes, d'un geste rassurant je sentais la finesse du voile, du pur nylon, cette douceur inégalable. Un plaisir anodin et purement personnel pour réconforter ma journée, un détail cosmétique pour ma tenue, mais aussi une étincelle de féminité. Je savais que cette invisible détail me confortait dans ma liberté de mode, dans ma définition toute personnelle de la volupté. Coincée dans l'embouteillage de ce début de week-end, je pensais déjà à mon canapé, à cette respiration, seule mais libre, dans mo petit chez moi. Quelques livres, une flûte, une petite omelette avec quelques tranches d'avocat citronnée, rien de plus. Juste une bonne raison de profiter de la douceur.

 

Nylonement

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5 décembre 2020 6 05 /12 /décembre /2020 23:47

Le ciel gris attend un rayon de soleil pour réchauffer son dos, pour lui céder un peu de place. Les oiseaux picorent les peaux de magrets accrochées à la branche, le chat reste là, perplexe derrière la vitre, bien au chaud, un regard vague vers eux.

La cheminée crépite, la chaleur retrouve sa place autour du sapin. 

Rien ne bouge sinon ma main sur cette tasse chaude de thé aux saveurs de Noël, je pense à mes amies, si loin par la distance, plus encore par cette crise. Cette année, je ne ferai pas de sms de Noël ou de bonne santé, mais j'envisage plus des cartes, avec le plaisir d'ouvrir une enveloppe, de sentir la matière épaisse de la carte, un dessin original, quelques mots. Ceux-ci seront forcément légers pour ne pas peser sur le fil de la vie des uns et des autres. Doucement écrits à la plume, je viens de nettoyer ce vieux Mont-Blanc de mon 25e anniversaire, une fierté du moment, oubliée mais de nouveau dénichée. De l'encre avec la pompe pour le nourrir, et là quelques voyelles et consonnes pour les prochains jours, pour les relire dans les prochaines semaines, pour croire en l'avenir.

   

     

Et si la douceur était là

 

Choisir les couleurs, un thème, pas trop kitsch, juste un peu pour attirer les sourires, pour laisser les doigts s'exprimer dans un dessin qui sera unique, juste pour elle, pour lui, pour eux aussi. J'ai déposé sur la table mes aquarelles, mes crayons gras, mes sanguines chéries et mes blocs de papier. Toutes les épaisseurs, naturellement d'un blanc cassé, avec parfois du grain, lisse ou plus rugueux mais toujours aussi accueillant pour laisser glisser les mains, puis le pinceau. Je pense, plus exactement je me charge de belles émotions, pour en libérer un coup de crayon simplement, un début d'histoire, une bribe aussi, figurative ou abstraite, je ne le sais pas encore. Rien ne vient, là mes mains sont encore sur la tasse chaude, libres de choisir leurs chemins futurs.

 

Le chat ronronne, vient fureter sur la table basse, sur les papiers étalés, il renifle, tout en cherchant sa place, parfois son confort est relatif, soit sur la pleine page de dessin, vautré de tout son long, soit là posé sur les angles bruts de ma boîte d'aquarelle. Mais il marque son endroit, attendant avec une patience mêlant sagesse de voir mes mains le caresser, puis prendre une pointe d'eau, une touche infinitésimale de rouge et libérer le geste sur le blanc immaculé.

 

   

    

    

Photos du net : Modèle Idda Van Munster

Photos du net : Modèle Idda Van Munster

 

Je suis bien, dans une bulle qui me paraissait disparue depuis quelques moi, j'oublie le travail, les errances des uns et des autres, les possibles ondes négatives d'un monde insatisfait. Le téléphone est loin, en sourdine, le néant attendra, l'urgent avec, si réellement il existe, ce fil multiple ne m'apporte aucune délicatesse ou joie. Relâchée, j'avance dans ce cocon si personnel. Je glisse une jambe sous mon corps, sous cette robe pull soyeux et chaude, l'autre naturellement posée sur le sol, et assise ainsi, je commence à créer. Une douceur entière m'envahit, je suis bien. Le chat ronronne avec les premiers coups de crayon, il ferme les yeux, ressent peut-être les vibrations complices du papier et de la mine traçant des courbes. Un corps apparaît, allongée, quelques lignes, rien de vrai, mais pour mes yeux surpris autant que moi, une forme vient de naître, de ce lien flou entre mon imaginaire, de mes neurones dopées aux endorphines, et de mes doigts légers. Est-ce l'expression naturelle des caresses ressenties ? de ce souvenir encore présent de ses mains à lui sur moi ? de cette folie douce et charnelle partagée avant ce thé ?

Je croque la douceur, librement. Sans limites.

 

Nylonement

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

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Bas Nylon, quel talon ?

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