20 mars 2020 5 20 /03 /mars /2020 11:32

Je n'ai pas choisi de naître ce jour-là, dans cette famille-là, dans cet hôpital en banlieue de Paris. Bébé de l'euphorie de la Libération, j'ai été le fruit de l'amour d'une femme éternellement enfant et d'un homme ne pouvant exprimer ses émotions. Heureuse dans une époque souriante des trente glorieuses, j'ai fait mon chemin avec mes deux soeurs derrière moi, si différentes, si éloignées de mon caractère. Naturellement, j'ai pu choisir ma voie, celle d'à côté d'une vocation de peintre, de crayonneuse comme disait-alors mon professeur, de styliste au final. Dans un bureau, j'ai suivi une carrière en m'impliquant dans mon travail, en étant toujours présente, forte face aux hommes qui pensaient tout savoir, pour grimper dans les échelons. Dans un bal, j'ai emmené avec moi un jeune homme discret mais si beau, il m'a fait décollé loin d'ici quelques mois plus tard. Mariée et joyeuse dans cette vie d'aventure, d'insouciance et de bonheur au soleil j'ai pu reprendre l'art, partager avec pédagogie mes bases pour des plus jeunes. Ah que la vie était belle !

 

Aujourd'hui je dois prendre tout cela comme un dernier voyage dans mes souvenirs pour retrouver mes beaux moments. Le regard figé dans cette lumière néon, au plafond de ce bloc d'hôpital, je suis ailleurs, shootée par les médicaments. Hors de mon corps qui me lâche, je vacille sans tomber, mais j'ai plus l'impression de m'appartenir. Ils tournent autour de moi, injectent, discutent, se justifient, misent sur mon potentiel à être encore là demain. 

 

 

Survoler

Heureusement, on imaginaire est libre de toutes ses contraintes, je peux m'évader dans le ciel bleu, celui que je ne vois pas d'ici, que j'ai en moi, avec mes couleurs d'aquarelle. Sans limites, je pousse plus loin, les mots, surtout les images de ma volonté, de cette force intérieure qui bat encore. Avec lui, je n'ai pas encore eu le temps de peindre, de partager cette envie de tourner autour d'une modèle, de façonner des croquis, de les compléter, de leur donner vie avec des craies, des pinceaux ou de simples crayons, des tâches d'encre, quelques bambous plus sobrement. Ma boîte et mes papiers me manquent mais je peux créer sans contraintes autant d’œuvres que je les souhaite. Pensées, ébauchées et déjà finies, sans les coups de gommes ni les retouches, déjà accomplies, elles sont là face à mon regard, prêtes pour une exposition.

Je serai là pour la prochaine, à moins que ce ne soient uniquement mes dessins et mes toiles. Que d'amour pour ce dernier vol !

 

Nylonement

par Gentleman W

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19 mars 2020 4 19 /03 /mars /2020 09:10

Le soleil se lève, jamais je n'ai le temps de le voir apparaître sauf depuis trois jours car je suis chez moi. Là sur mon balcon, ma tasse de thé dans la main, sur ma chaise avec mes quelques fleurs autour, je prends le temps de me poser, de reprendre contact avec la nature. Réveillée aussi tôt que d'habitude, je savoure malgré moi, ce jour qui pointe son nez, doucement, la lumière donne du bleu au ciel, les premiers rayons dépassent des arbres, des maisons, le soleil se pose là, bien là.

 

Ma tasse entre les mains, je me réchauffe dans cette ambiance pesante, j'ai coupé la radio, arrêté la télé, et j'ai renoncé aux réseaux sociaux, je suis seule, toute seule. Juste le chant des oiseaux, des mésanges qui rebondissent sur les branches des bouleaux, deux pigeons qui s'embrassent, quelques moineaux, tout ce petit monde savoure le printemps et surtout leurs libertés. Je suis avec eux pour attendre la nouvelle saison, car jamais je n'ai autant attendu l'avenir. Un futur proche, un lendemain meilleur. Mais je commence à mieux appréhender mon présent, cette bousculade d'informations trop nombreuses et ce tsunami d'angoisses démultipliées. Je me suis levée sans être anxieuse, comme si ce poids venait de rester derrière ma porte, digéré en partie. Libérée mais paradoxalement prisonnière de mon chez moi. Boulimique de boulot, je décompresse d'une plongée permanente et profonde, je retire boulot de ma routine, je retire métro aussi. Mais je ne succombe pas au dodo, j'ai dû temps, ce bien si rare que je laissais pour les vacances, je vais avoir beaucoup de temps pour finir cette semaine, pour la prochaine et pour les suivantes, pour finir le mois de Mars et probablement celui d'Avril. Seule, sans cette routine addictive, sans agenda, sans rendez-vous qui se suivent, s'enchaînent et passent au jour suivant, à la semaine voire au mois suivant. Un agenda gommé d'un trait, j'avoue avoir perdu mes repères mais je suis là, seule sur mon balcon, dans un léger vent frais.

 

 

Immersion

 

Je vais prendre le temps, je vais enfin avoir du temps pour moi, un luxe finalement. Cet instant figé sans obligation, sans montre, d'ailleurs je l'ai laissé dans ma chambre, je suis nue de mes routines habituelles. Rien pour les prochaines heures, j'ai encore un peu de mal à le réaliser, à l'admettre, je respire pleinement cet air, j'avale ce rayon de soleil. Il glisse sur mes jambes, ma robe pull appelle au cocooning. 

Que faire ?

Rien pour débuter, avec un sourire malicieux sur mes lèvres.

Rien, cela veut dire, oublier le téléphone, en mode avion depuis hier.

Rien de plus, j'ai plusieurs piles de livres, achetés ici et là, dans des brocantes d'été, lors de balades sur les quais, en passant devant une librairie, mais vite entassés dans un coin de salon, en attendant les prochaines vacances. Un instant de repos, Un vide soudain dans mon agenda. Aujourd'hui. Enfin je vais pouvoir plonger dans ces romans, dans cette biographie de Simone Weil, dans ce livre d'amour au double féminin, et dans les autres, sans me rappeler le déclic d'achat. Tant de livres, encore plus de mots, de vagues d'imaginaire en ébullition, de contrastes d'émotions. J'en choisi deux, un troisième là-bas, je le repose, j'en reprends un autre, des essais d'un auteur japonais, un cadeau de ma soeur, ignoré depuis Noël. Je découvre des romans, des livres de poche, ils sont là sagement empilés, j'hésite encore. D'un pied je referme la fenêtre, je coupe le vent, je garde le rayon de soleil, je me love dans le canapé, je cale les coussins, moelleux pour épouser ma silhouette de lectrice. J'ai trouvé, je vais m'immerger dans l'océan de mots, une longue apnée. Un monde merveilleux et inconnu, une autre dimension. 

Une grande respiration.

 

 

Nylonement

par Gentleman W

 

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1 mars 2020 7 01 /03 /mars /2020 11:44

Notre monde aurait-il perdu toutes valeurs ou simplement serions-nous encore dans cette société avec les grands, chargés de pouvoir et de position dominante, et les autres, les gueux, les intouchables ?

Ces gens, nous, le peuple et les autres encore, ceux et celles qui vivent sans aucun pouvoir mais avec l'envie et le besoin de travailler, de marcher, de trouver un toit, de créer une famille, de vivre tout simplement, ces gens doivent-ils être mépriser, ignorer même ?

Car les mois passent, les paroles se libèrent difficilement, les faits existent et pourtant certaines personnes semblent protéger de leurs actes. Pourtant chaque jour dans notre pays de France, dans le monde aussi, mais je resterai un peu chez nous, il y a des victimes de harcèlements, sexuels en particulier, des personnes contraintes par des remarques et des petits gestes déplacés, des habitudes et des comportements d'un autre siècle, des agissements machistes dégradants. Pire il y a des viols, des centaines de viols, des milliers sûrement (car n'oublions pas que les "saintes" (portées toujours en référence) statistiques mettent en avant uniquement les 10% de personnes qui portent plaintes, les autres sont assommées, abasourdies et silencieuses face aux maux vécus, réduites au silence par leur entourage le plus souvent, donc uniquement 10% peuvent ou osent porter plainte).

Ces actes innommables, sur des femmes surtout, sur des hommes parfois, proviennent de leurs proches le plus souvent, la famille, la papa, l'oncle, le frère, le voisin, le bon copain de ceux-là. Et puis il y a aussi certains métiers, où le pouvoir et la reconnaissance "je suis connu" permettent d'abuser de cette position. Jeunes actrices, trop jeunes parfois, jeunes ambitieuses, jeunes pleines d'envies de réussir, jeunes bloquées dans une ascension difficile, jeunes fougueuses emportées par la rage de devenir célèbre et de décrocher les plus beaux rôles, les plus beaux films avec les réalisateurs reconnus, toutes elles veulent avancer, parfois elles succombent au charme d'un homme de pouvoir car elles visent plus haut, ou simplement un rôle là maintenant. Elles partagent ce métier de passion, d'être et de paraître, de femme actrice et de comédienne aux multiples facettes. Le personnage est leur objectif, et celui qui façonne ce jeu est le metteur en scène, le réalisateur, l'agent, ces hommes de la "grande famille du cinéma".

Succomber à la passion, devenir même des filles légères pour réussir, finalement au bout de ce raisonnement étroit (mais utilisé en défense par certains avocats pour faire des victimes, des harpies sexuelles), on finirait par croire qu'elles sont toutes les putes de ces messieurs. Ils les honorent de leurs grandeurs, de leurs statuts d'hommes aux clefs d'or, celles qui ouvrent les portes de la possible reconnaissance. Ils les flattent, ils les baisent, ils jouent avec les jouets. Je vomis les mots que je suis obligé d'écrire ici. Car tout cela se fait en totale impunité, loin de toute morale, presque comme une évidence de ce grand métier du théâtre, de la comédie, de la tragédie, du Cinéma.

 

Alors réveillons-nous, ne restons pas complices de ce monde qui n'a pas entendu les cris, les violences et les indignations, les messages libérant des années de servitude, voire de pseudo-esclavagisme des femmes dans ce métier. "Me too" ou "Balance ton porc" ont eu peut-être certains excès mais je regarderai plutôt toutes les vérités, même prescrites, celles qui ont vécu le pire, et qui ont osé ressortir leurs blessures, leurs meurtrissures au grand jour.

Aucune femme ne fera cela pour être reconnue, et vous saurez mesurer la force qu'il faut pour avouer aux autres, aux regards des autres, aux jugements des autres, ce qui est une éternelle douleur profonde ancrée en soi. Personne ne se contente d'être victime, mais elles portent souvent ce fardeau dans une infinité de jours, de semaines, de mois et d'années. Elles ne s'en libéreront jamais.


 

 

 

 

Triste cinéma

 

Alors je suis triste, écœuré, outré, ravagé par l'aveuglement d'une institution française ( notre pays des droits de l'Homme et de la Femme, des libertés !) d'avoir laissé cet homme, mais tous les autres aussi, dans un panel de récompenses. Lui aussi pourrait avoir l'intelligence, ou sobrement la dignité de se retirer (son âge lui permet de rester avec ses films du passé). Lui pourrait avoir l'envie de vérités, car certes aujourd'hui en France il n'est pas vraiment accusé, ni même considéré comme coupable, mais il pourrait avoir l'envie de se justifier, de montrer sa réalité d'innocent, à moins qu'il ne sache au fond de lui, malgré le temps, qu'il n'a pas du tout les mains propres, et qu'il devrait répondre réellement de ces actes passés mais toujours présents dans les corps et les âmes des victimes.

Vous pourrez toujours voir les films, le travail des uns et des autres, car malheureusement ces pratiques datent de trop longtemps, la liste des coupables serait longue et remplie de personnalités brillantes pour leur créativité, et uniquement leurs créations.

J'accuse ce cinéma-là de ne pas vivre avec son époque, avec nos réelles définitions de la liberté, avec ce pragmatisme d'ouvrir les yeux sur la position des femmes dans notre société, dans ce métier. Ce qui se faisait hier ne doit plus être aujourd'hui, point de complaisance. Mais uniquement la justice pour les victimes, et si nos lois (si permissives à mon goût) donnent un délai de prescription inadaptée pour ces actes, il serait temps que le métier fasse son propre ménage, trouve ces coupables et les laisse de côté définitivement.

 

Notre monde vit avec cet équilibre génial de femmes et d'hommes, progresse chaque année pour un accès à toutes les fonctions, pour les femmes en particulier (un coup de baguette magique ne permet pas encore de trouver une balance parfaite). Notre diversité est une richesse.

Votre féminité est une source infinie de créations. Mais respectons-là pleinement !

 

 

 

Nylonement

par Gentleman W

 

 

P.S. Je n'ai pas été voir le film sur l'affaire Dreyfus, je le verrai un jour, plus tard. Mais je suis fier que mon arrière-arrière-grand-père, juge de son état, avec un éthique bien personnel, est refusé en son temps, de juger en premier procès le Capitaine Dreyfus, refusant de céder aux pressions 'douteuses'. 

 

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11 février 2020 2 11 /02 /février /2020 16:42

"Je veux rentrer.

En plus, je ne supporte pas les odeurs d'hôpital, ça ne sent pas le propre, ça sent le désinfectant, les produits de nettoyage aux parfums hypocrites pour masquer les sanies, les oublis, les accidents de lit, les petites horreurs.

ça ne sent pas la cuisine - le pot-au-feu mijoté - ça sent la bouffe de cantine, même le café n'a pas la bonne odeur. Son fumet rase les murs comme un traître dans l'ombre, ..."

 

Voilà un livre plein de belles pensées, pourtant vous serez au chevet d'un vieux, un peu écrabouillé, tombé à l'eau, survivant dans un service de rééducation des poly-traumatisés. De plus celui-ci est un grincheux dans l'âme mais avec beaucoup d'esprit quand il regarde passer ses contemporains, depuis son lit d'hôpital. Et voilà un petit théâtre vivant avec des infirmières et des internes, des chefs de service qui déroulent leurs cours d'anatomie, et en passant celle d'un patient n'ayant qu'une blouse bleu pour pyjama. Il est drôle, touchant avec ses inconnus venus vers lui, grognon avec ses proches, certes un peu cons mais réguliers dans leurs bêtises. Il croque la vie même si avant son accident, elle semblait d'une palpitante neutralité émotionnelle. Un retraité en phase descendante avec ce regard amusé sur les autres. 

 

Je me suis régalé car le ton est juste, les personnages sont bien dans leurs attributions, des seconds rôles indispensables pour se détendre et pour aussi découvrir des vies parallèles à notre alité. Des moments touchants aussi !! mais un tout positif !!

 

 

Livre : 'Bon Rétablissement' de Marie-Sabine Roger

"Myriam pioche dans la boîte de chocolats que j'ai chargé Maxime d'acheter pour elle.

Elle fait Mmmmmmmmh ! d'un air épanoui, les yeux fermés, puis me tend l'assortiment avec un petit clin d'oeil, comme si elle suggérait une pause coquine.

Il faut se rendre à l'évidence, la plupart des femmes n'ont pas besoin de nous : un ballotin de chocolats leur suffit amplement pour remplacer l'orgasme."

 

 

Bonne lecture de ce livre plein de fantaisie et d'émotions positives.

Nylonement

par Gentleman W

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

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et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

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