2 mars 2022 3 02 /03 /mars /2022 10:53
Entre deux nuages

La nuit fût ... ah je trouve pas les mots.

"Bonjour, comment ça va ?" la politesse du matin, la question à laquelle je n'ai pas envie de répondre, non pour les brusquer, non pour être obliger de leur dire ce que je vis, non pour rester loin d'eux, les chers collègues. Pas besoin de partager ces douleurs qui emplissent mon esprit, qui suivent chaque instant de mon existence, jour et nuit.

Et ce téléphone, pour les mots sereins, les plus rares, pour lire aussi les doutes voire les affabulations ou les délires de la malade. J'oscille entre tout cela, comme balloter dans des vagues en attendant la prochaine, plus douce et plus forte, plus frontale. Avec ce besoin naturel de compassion vers elle, car je ne suis pas la victime de ce tourbillon, loin des douleurs de la maladie, mais parfois aussi j'essaye d'exister, de me reposer, de faire une coupure, de croire à un répit possible, pour prendre aussi du recul. cela manque souvent entre deux aides, entre deux demandes, entre deux creux de son essoufflement. Mais je revois aussi ses abus, ses flottements sur la limite de l'exigence et du réel besoin.

Compassion ou complaisance, des nébuleuses qui se rapprochent et se croisent, se noient parfois dans une volonté d'aider encore, mais ne doivent pas faire oublier le passé, le plus récent. Elle qui n'a jamais rien donné aux autres, ni même de son temps pour s'occuper réellement de ses enfants. De son nombrilisme, permanent et occultant la réalité, les autres ont vécu en parallèle, ont grandi, se sont construit, ont demandé de l'aide ailleurs, à leur père. La vérité rattrape le temps, le présent aujourd'hui. Alors est-ce un caprice de plus, une envie réelle et salvatrice pour elle, mais là encore, pense-t-elle maintenant enfin aux autres. La maladie n'efface pas la vie, le vécu et les blessures sourdes.

Elle vit encore, elle ne pourra plus être soigner pour atteindre un début de rémission, elle est condamnée, elle s'est condamnée, par d'absurdes convictions, par des vérités qui n'en sont pas, par un refus d'écouter les autres, par cette nature à ne croire qu'elle-même, par cet égoïsme totalement aveugle. Elle va vers la mort, son corps n'est plus qu'une ombre, elle ne se reconnaît plus, mais a-t-elle existé un jour ? Son image, celle qui ne restera même pas dans les yeux mouillés de nos enfants, elle part sur ce chemin qu'elle a choisi, fatal et ombrageux. Mais si nous l'accompagnons, c'est aussi pour nous protéger de ces choix incompréhensibles, de sa vérité morte, de ses mensonges récurrents. Instants de paradoxe ! Son parapluie troué ne résistera pas à la pluie, car ce n'est pas en fonçant droit sous le déluge que celui-ci s'arrête. C'est simplement que le nuage passe, la vie continue.

 

 

 

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28 février 2022 1 28 /02 /février /2022 11:57

Voilà un titre qui casse la baraque. Et pourtant ce n'est que le titre d'un recueil littéraire du grandissime Pierre Desproges. Festivalier permanent, même après des dizaines d'années d'une mort consommée, il incarne le génie de l'humour noir, de l'autodérision et l'illusionniste farfelu mais capable d'un triple salto arrière carpé avec double vrille en sortie pour toujours retomber parfaitement sur ses mots et et sur ses pieds. Un petit livre à avoir en poche quand on fait la queue pour sa troisième dose ou simplement que l'on a coupé la radio et les merdias pour devenir contemplatif sur un banc, seul face à la mer dans une ville balnéaire fermée. Lire et se marrer, sans se passer la rate au court-bouillon, voilà un message sain pour avancer malgré ce brouillard épais qui vient de déferler sur ma vie, enveloppant au passage mes enfants devenus jeunes adultes, pas assez grands pour tout apprécier et encore assez jeunes pour garder une part d'insouciance protectrice.

Brume sous un doux soleil de printemps, je ne vois plus comment sera demain, car je ne définis que des matins et des après-midis, parfois j'ignore les nuits, parfois elles se rappellent à moi avec des gyrophares dans le noir. Ils sont là, elle part, elle quitte la maison pour revenir ou pas.

Quand ? le curseur ne pourra pas revenir en arrière, nous donner encore un peu d'espoir. Il est comme ces liens de plastique, ces serre-fils qui inexorablement se resserrent mais ne permettent pas de se défaire, de coulisser pour se libérer. 

Quand ce curseur basculera entre la vie et les prémices d'une mort que l'on ne veut admettre ni même souhaiter mais qui semble si évidente, si présente déjà sans affirmer son statut de futur proche. Palliatifs, un terme si élégant à mes oreilles pour accompagner avec sagesse et professionnalisme les moments de douleurs ou de souhait partiellement exprimé de partir.

Quand la maladie qui la dévore décidera de sa victoire ultime, complète et sans vie. Peut-on se libérer, dès maintenant quand tous nous sommes conscients des analyses et du diagnostic, de l'étendue invasive majeure de cette chienlit de maladie, donc peut-on se libérer de ce poids d'attendre la mort, sa mort prochaine ?

Le sujet de philosophie ne me donnerait pas assez d'heures pour rédiger complètement mon plan, mes questions nombreuses et surtout assez de papiers pour griffonner d'une encre et d'une réflexion structurée les arguments de réponse. Alors je laisse les nuits, ces instants dans le noir avec le crépuscule d'une lune évaporée flottant sur le velux pour laisser libre cours à mon esprit, pour donner une vision, pour la défendre avec ses paradoxes et un peu de compassion, mais en ajoutant le passé, les sentiments perdus et les doutes multiples, cela complexifie les résultats, cela oblige à des tergiversations sans fin, dans la nuit, pour donner du sens au tout final, parfois évanoui dans le sommeil revenu entre deux insomnies existentielles.

 

Vivons heureux en attendant la mort

Alors là, sous la couette, je tente vainement d'entrer dans un monde glamour, avec vous, mesdames, vos gambettes de luxe marquées d'une couture sublime au dos de chacune. je glisse dans mes rêves, j'imagine le crissement du nylon, la joie des courbes en espérant voir, non, juste apercevoir un revers, une attache voire une jarretelle. Libération de mes neurones engluées, je vogue sur vos corps de femmes, grands ou petits, rondes ou maigres, normales dans toute votre diversité, classiques ou rebelles, sages ou mutines, je rêve quelques minutes pour oublier ce cauchemar du quotidien dont je ne connais pas la durée, mais dont je commence à connaître la douleur cynique, journalière, insidieuse, presque venimeuse.

 

Nylonement

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25 février 2022 5 25 /02 /février /2022 10:36

Comment trouver les bons mots ? Coincé entre deux oreillers, dans un confort que je ne ressens même pas, comme absent de mon corps, je veille sur eux. La nuit enveloppe le monde extérieur, un peu de brume en bonus, les lampadaires semblent effacés dans des halos affadis. Les volets sont encore ouverts sur ce bout de journée, celui où je peux enfin être seul. Sans les coups de téléphone du travail, des autres, de tous. Je hais ce téléphone qui me donne des nouvelles, rarement bonnes, ce fil qui me relie à une réalité terrible que j'aimerai bêtement niée. Là, à cette heure, seul dans ma chambre, je somnole car la fatigue du corps est passée après cinq heures d'écroulement physique, rattrapée par un inconscient plus fort, plus virulent, plus présent dans la tempête. Il prend possession de moi, je ne peux le chasser, les yeux s'ouvrent pour casser les images et les pensées. Repousser le tourbillon. Mais le corps rappelle l'envie de dormir encore, les yeux clignotent, les paupières glissent, et les idées noires frappent lourdement au plexus. Je me réveille pour penser plus sainement, pour respirer doucement. 

 

Retrouver des mots, préparer mes mots pour eux pour qu'ils soient justes. Ni trop, ni pas assez, un dosage pour un cocktail violent, une improvisation impossible pour cette échéance à venir. Comment leur dire ? Comment aller vers eux pour déclarer cette nouvelle ? Troublante situation de connaître réellement le futur, celui-là même qui généralement est un flou renouvelé chaque jour, avec de la vie.

 

Je rejoue cette partie indéfiniment, car je connais la fin, la fatalité de cette fin. Mais il y a déjà un long "avant", il y aura un "pendant" et surtout un très long "après". Interminable "avant" que paradoxalement nous souhaiterions prolongés encore, encore un peu, toujours un peu plus. Cela devient même égoïste d'espérer toujours un jour de gagner, un jour pour nous, pour elle. 

 

Mais elle sait déjà que le mal l'emportera, fatalement. Les analyses ont rendues leur vérité froide. Rien de plus, des diagnostics, des chiffres et une réalité, pas vraiment de délais, pas de dates, mais un mot. Incurable.

 

Et puis elle a choisi, elle a soufflé la dernière bougie, cette ultime lueur dans un tunnel déjà très sombre. Plus d'envie, plus du tout l'envie de vivre. Alors nous sommes là. Et cette nuit, je dois construire ce chemin de mots pour avancer avec eux, nos enfants.

 

Demain, le jour se lèvera, doucement.

 

Aimez-vous !

Serrez-vous forts dans vos bras tant que la vie est là !

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10 janvier 2022 1 10 /01 /janvier /2022 14:19

Est-il possible de croire à mon évasion ? De la rendre réelle pour sortir de cette prison sans barreaux ?

Aujourd'hui peut-être, je peux envisager cette opportunité. Un jour de repos, un jour seule, chez moi. Une journée sans horaires de travail, sans bip de réveil le matin, toujours trop tôt pour échapper aux embouteillages car j'ai abandonné les transports en commun. Les croisements trop nombreux avec des gens, des individus si individuels pour respecter les consignes d'hygiène, je ne pouvais plus supporter tout cela. Car au-delà du savoir-vivre il y avait le savoir vivre ensemble. Une crise mais surtout une résurgence de l'individualisme profond, du pouvoir de l'anti-communauté en promulguant chaque jour sa liberté propre d'être seul dans un monde de sept milliards de personnes. Alors moi aussi je prends ma voiture, seule, parfois avec un collègue habitant à proximité quand nos horaires et agendas concordent, je roule dans ma bulle, dans le flux lent et mou des voitures.

Aujourd'hui je suis restée dans mon lit, un peu plus longtemps car les besoins naturels primitifs vous rappellent que chaque matin, vous allez vous libérer à la même heure. Le chat en a profité pour se lover sur la place chaude dans le lit, je l'ai poussé et je suis magiquement rendormie. Une douche, et un moment nue, sans but et sans horaire, je suis restée là à me demander ce que j'allais pouvoir faire de ce temps libre. Enfin. Pas encore prête à cette journée à possiblement rien faire.

Rien, un moment immobile et moi, nue.

 

Evasion

La chaleur de la douche disparaît, je glisse vers ma chambre, j'ouvre ma commode pour choisir mes dessous. Confort ou séduction, je suis seule aujourd'hui mais je peux aussi prendre un peu de temps pour laisser le confort du travail et du quotidien pour choisir un ensemble en soie par exemple. Une petite folie achetée durant les dernières soldes, mise une fois et oubliée là. Soie rouge, piment coloré sur ma peau blanche d'hiver de routines journalières, je suis tentée. Lâcher-prise ainsi, ce serait bien de prendre du recul, de prendre le temps de m'aimer un peu, égoïstement, d'être féminine et sensuelle juste pour moi. J'agrafe le soutien-gorge, laissant ma poitrine se poser dans les balconnets, naturellement, en souplesse. La douceur m'enveloppe, encore plus en me faufilant dans une culotte haute si élégante, et si vaporeuse de soie et dentelle. Je me sens bien. 

Collant ou bas, j'aime la liberté des deux, mes jambes sont mes atouts de femme, j'aime en abuser pour les montrer mais aussi les cacher, les dévoiler quand je veux seulement. Des bas seraient bienvenus car si doux, si délicats sur ma peau. Et puis cette liberté si personnelle sur le haut de mes cuisses. J'aime cela. Une robe, un pull, le compromis des deux avec cette robe-pull en laine et soie, je profite de ce confort chaud. Quelques boutons, je retourne pour un maquillage sobre, une touche d'eye-liner. 

Une touche de parfum, je revis avec le chat qui se frotte autour de mes mollets. Pas d'escarpins, des ballerines, des livres, un grand thé chaud, de la musique, pas de médias pour rester dans cette bulle de protection. Je me sens bien. Un peu libérée. 

 

Nylonement

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

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Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

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Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

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et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !